Edito #29 / D’un olivier à l’autre …
Life is one way et il n’y a pas de vérité si ce n’est celle de nos entrailles. Sans foie ni loi, la vie nous estomaque parfois.
Je ne sais pas qui tu es mais je sais un peu d’où tu viens. La vie nous a séparé et a créé un vide que déjà remplit ton souvenir. Un souvenir recouvert de la terre des oliviers dans laquelle s’enracine un amour paternel en route vers l’éternel.
Entre une présence absente et une absence trop présente, mon imagination seule bâtit le tombeau de nos histoires contiguës sans pointiller sur le passé.
Je ne te voeux rien et je ne t’en veux pas même si je ne cesse d’imaginer que ça aurait pu être mieux. Mais je sais aussi que je serai meilleur dans mes enfantillages.
Allez, mec, te fais pas de bile et prostate toi devant l’envie. Celle de vivre et revivre des moments d’émotions en puisant dans les souvenirs de ton héritage secret. Celui quine se partage pas mais se transmet.
RIP baba.