Judaïsme et sciences de l’Evolution

« Judaïsme et sciences de l’Evolution » est un recueil de coïncidences entre des écrits anciens Torah et des émissions scientifiques faites autour le thème des origines pendant 5 ans – plus de 200 chercheurs reçus dans une émission hebdomadaire sur idfm 98. Préfacé par le professeur Robert Haiat, cardiologue, président de l’Association des Médecins Israélites de France, ce livre lève le voile sur les Origines, comment les Origines sont un chemin vers l’éternité.
Judaïsme et sciences de l’Evolution aux éditions Lettres vivantes est un ouvrage qui relate des coïncidences étonnantes entre des écrits vieux de 6000 ans et des découvertes récentes. Ce livre lève le voile sur les Origines, comment les Origines sont un chemin vers l’éternité. Les Origines faisaient déjà partie de la vie de nos ancêtres au travers de cultes à la Nature et aux animaux il y a des centaines de milliers d’années.
Plus près de nous, les hébreux il y a 6000 ans ont consacré les Origines dans les premiers livres de la Torah, dans l’Ancien testament – le livre de la Genèse. Plus près de nous encore, il y a 200 ans, les premiers paléontologues Georges Cuvier, EGSH puis Charles Darwin, ont mis en évidence nos origines au travers de filiations de descendance avec les animaux. Aujourd’hui, un paléontologue américain, Neil Shubin, a mis en images pour des émissions TV, notre part animale : notre poisson intérieur, notre serpent intérieur, notre ver de terre intérieur.
La première partie du livre est consacrée à la mémoire des origines au travers de la poussière d’étoiles qui nous constituent ( les atomes), au travers de la prédominance du féminin dans l’identité juive qui vient faire écho aux récentes découvertes sur le rôle du féminin dans la sélection sexuelle aux côtés de la sélection naturelle
La seconde partie du livre relate les origines au travers de choix alimentaires du régime casher qui écarte toutes espèces des premières ères géologiques. Grosso modo, les animaux apparus avant les dinosaures ne seront pas mangés. L’arche de Noé est un emblème du régime casher, de la continuité de la Vie.
La troisième partie du livre dévoile que l’intérêt porté aux origines par nos ancêtres semble être concomitant avec l’apparition de la pensée. Faut-il avoir un crâne et un cerveau pour penser ?
Les migrations sont probablement moteurs dans les mécanismes d’acquisition de la pensée. Emmanuel Macron avec son mouvement politique « En marche » s’est probablement inspiré de cette idée. Il est venu mobiliser nos origines en faisant référence à la marche, une démarche qui n’était pas politique pour nos ancêtres…
La construction du corps humain et la construction de la pensée sont des mécanismes parallèles. Pour comprendre la construction d’un corps depuis des millions d’années, il y a l’étude des fossiles et l’anatomie comparée entre les espèces étudiée au Muséum.
Pour lever le voile sur l’acquisition de la pensée, il n’y a pas de fossiles. J’ai montré que certains de comportements psychologiques, certaines maladies psychiques pouvaient refléter les origines de la pensée. Pour le corps, un seul exemple : les oignons, déformations au niveau du gros orteil, témoignent en faveur d’un aspect regressif du pied : cette déformation nous fait retrouver un pied de singe, voire d’oiseau.
On parle aujourd’hui des migrants venus d’Afrique, de Syrie… Nos ancêtres ont migré pendant des millions d’années vers l’inconnu, des continents vierges de toute présence humaine. Ils ont développé un langage intérieur, des pensées dans leur silence intérieur (pour nos premiers ancêtres sans vocabulaire). Nos origines sont parlantes par leur présence dans notre corps, dans nos pensées. C’est ce que ce livre « Judaïsme et Sciences de l’Evolution- Coïncidences » aux éditions Lettres vivantes vous invite à découvrir.